Non, je ne suis pas gentille.

Affronter ma plus grande peur : être perçue comme inutile. Je me suis trop souvent retrouvée dans la peau de la 'gentille fille' ou de 'Wonderwoman', des rôles qui m'ont valu des étiquettes comme 'naïve' ou 'trop gentille' — des mots qui sonnent comme des insultes à mes oreilles. C’est un combat constant contre la crainte d'être rejetée pour ma différence, une lutte qui transparaît malgré mes efforts pour la masquer.

Le jugement le plus dur, cependant, vient de moi-même.