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Tout le monde parle de « valeur », mais ça veut dire quoi, au juste ? Ce qui compte pour toi ne compte pas forcément pour les autres. On se demande toujours quoi poster, et notre rêve de vendre nos créations artisanales en ligne à notre manière semble toujours aussi lointain.
La quête des likes sur les réseaux sociaux est souvent perçue comme un indicateur de succès. Cependant, dans cet article, je partage ma perspective sur la raison pour laquelle obtenir des likes n'a jamais été l'objectif principal de ma stratégie de contenu.
De nos jours, le paysage de la mode a radicalement évolué, avec l'essor d'Internet et des réseaux sociaux. Les créateurs(trices) de marques artisanales sont confrontés à des choix cruciaux pour promouvoir leurs produits.
Lorsque l'on ne fait pas ce que l'on désire, nos besoins les plus profonds, ainsi que notre environnement actuel nous impose un comportement. Pour notre business artisanal, c'est pareil.
Le métier d'artisan·e tricoteur·euse est souvent méconnu. Beaucoup le considèrent comme un simple loisir. Mais, de la même manière qu'il y a des couturier·ère·s professionnel·le·s, il existe aussi des tricoteur·euse·s professionnel·le·s. Que fait un·e tricoteur·euse ?
Notre temps sur Terre est limité et, honnêtement, avoir un emploi disperse notre concentration. Mais pour payer tes charges et ton loyer, parfois tu n'as pas beaucoup d'options : il faut travailler pour quelqu'un d'autre.
Beaucoup de femmes se retrouvent dans les mythes de la Wonderwoman ou de la gentille fille. Moi y compris. Ces rôles, en apparence valorisants, conduisent souvent à l'épuisement et à un effacement progressif de notre propre identité.
Si un outil pouvait nous rendre riches, je le serais déjà. L'outil reste un outil. La dure réalité que l'on doit tous comprendre, c'est qu'un outil restera toujours un levier de croissance. Un moyen pour amplifier un processus qui fonctionne déjà.
La maîtrise des compétences numériques est un impératif. Mais l'acquisition de ces compétences impose souvent un paradoxe physique : elles nécessitent un temps considérable devant l'écran, une pratique sédentaire à contre-courant de la biologie humaine qui privilégie le mouvement.
